Affiche de l’exposition et des trois journées de novembre 2008.
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Réalisée par l’Atelier Lisa Renberg.
Le graphisme a donné une place privilégiée à la vignette du B.I.E.N., très évocatrice du mouvement de l’Éducation nouvelle : le monde porté par deux enfants.
Vignette utilisée par le BIEN
« Que par les jeunes –et par leur éducation- , le monde poursuive sur la voie ascendante »
Vignette utilisée par le B.I.E.N. (Bureau International de l’Éducation Nouvelle, fondé en 1899 par Adolphe Ferrière)
Panneau d’entrée de l’exposition (Atelier L. Renberg)
De gauche à droite, au 1er rang : Pierre Bovet, Hélène Antipoff, Édouard Claparède, Marguerite Soubeyran – cliché de 1928, à l’Institut Jean-J. Rousseau – (coll. Institut J.-J. Rousseau)
Panneau 30 : Les dents serrées, poème de Noël Mathieu, dit Pierre Emmanuel
Sur cette page extraite du Livre d’or de l’École de Beauvallon, on trouve un exemple de la résistance civile qui s’est développée en lien avec “l ‘esprit de Beauvallon “
Dessin (de 1988) de David Meyer, réfugié et élève à Beauvallon, décédé en août 2008 en Israël.
(Coll. part. V. Bissat)
Deux GI’s de l’armée américaine arrivent en Jeep à Beauvallon, août 1944.
Entre eux, sur la banquette arrière, la fille d’Emmanuel Mounier.
(coll. part. J. M. Girbal)
Édouard Claparède, professeur à l’Institut Jean-Jacques Rousseau à l’époque où Marguerite Soubeyran y a étudié. L’illustre pédagogue a suivi de près la formation de M. Soubeyran ainsi que la création de l’École de Beauvallon où il s’est rendu en 1937 ou début 1938.